AVRIL 2012
Résumé de communication
« Le plus difficile en peinture est de trouver son sujet. » Cette phrase d’allure anodine, lancée à tout hasard au printemps 2007 par un peintre et enseignant que j’estime, me laissa complètement interloquée, voire même perplexe. Cet événement marqua le début d’une profonde réflexion sur la peinture et sur comment l’investir. J’entrepris une recherche picturale qui tente de cerner une instabilité de l’image, oscillant entre paysage, abstraction et architecture, en insistant sur le caractère indirect de ces influences visuelles et où le processus est au cœur du travail. Quelle est donc cette singularité qui émerge dans ce qui se peint, à travers la matière et nulle part ailleurs? Lors de ma présentation, je propose un récit de pratique empreint de ces questionnements.
11-12-13 avril 2012
Université du Québec à Montréal / Local DR-200